sportsregions
Envie de participer ?
Un match nul qui fait avancer

Les Baumois ont obtenu un match nul méritoire (0-0) hier face au leader et très probable futur champion de Franche-Comté, devant 500 spectateurs. C'est finalement assez logique. Néanmoins, les locaux auraient pu rafler la mise à la 88e si Alex Lerès avait transformé sa balle de match, mais, au bout du rouleau après une énorme débauche d'énergie, il a manqué de lucidité.
Les Bisontins, venus pour gagner et valider leur accession en CFA2, ont été sérieusement bousculés. Certes, le terrain très bosselé les a empêchés de mettre beaucoup de rythme dans le jeu.
Les Baumois, de leur côté, ont déployé des trésors de courage et d'abnégation pendant 93 minutes, ce qui laisse beaucoup d'espoir dans la lutte pour le maintien. En prolongeant cet état d'esprit remarquable à Bresse Jura (dans 2 semaines) et contre Ornans (dans 3 semaines), ils s'en sortiront.

François Bruard (coach du Racing): "C'était un match très sérré car Baume avait besoin de points et ils ont mis beaucoup d'ardeur à la tâche. Ils sont menacés par la relégation de manière surprenante. Le terrain était injouable, ce n'est pas un terrain de football mais une pâture. Impossible de faire deux passes sans des faux rebonds et, du coup, ils nous ont bien bloqués. Ils nous ont empêché de jouer. Finalement, je ne suis pas mécontent du résultat et on se contentera du nul. Pour être franc, je me fous d'être sacré champion à l'extérieur. Si on peut, on essaiera de l'être à Pontarlier. On doit à chaque match obtenir le meilleur résultat et hier soir, le nul était logique, le meilleur résultat que l'on pouvait obtenir. Il faut que l'on soit respectueux et que l'on prenne du temps en respectant les aléas de la compétition. Mais j'ai quand même bon espoir, sans être prétentieux, que le sacre arrive prochainement."

Accédez au compte-rendu du site du Racing Besançon

Accédez au résumé vidéo

Accédez aux réactions d'après-match (François Bruard, Philippe Pichery, Arthur Gravier, Cédric Chapuis)

 


 


Commentaires

Connectez-vous pour pouvoir participer aux commentaires.